Ce texte consiste en une exploration sur les points d'origine du principe d'exhaustivité et de l'esthétique qui en découle, et ce, à partir de deux oeuvres typiques du corpus d'Archiver le présent.
Cette entrée de carnet présente une courte étude exploratoire sur les liens existants entre les tentatives d’épuisement chez Georges Perec et les pratiques féministes de performance.
Cette entrée de carnet s'intéresse rétrospectivement aux raisons structurelles ayant motivé l'avènement d'une société de l'information.
Cette entrée de carnet amorce une distinction entre exhaustivité, épuisement et réel, d’une part, et totalité, infini et vide, d’autre part, depuis L’Univers d’Hubert Haddad.
Ce texte examine la pulsion d’exhaustivité en tant que rapport à soi ou pratique d’ajustement affective et identitaire dans les suites de l’ouvrage Cruel Optimism (2011) de Lauren Berlant.